Les giboulées de mars sont arrivées et avec elles les arcs en ciel.
Jolie photo prise en sortant du Gem.
Jolie photo prise en sortant du Gem.
Journée mondiale de la trisomie 21
#lotsofsocks2023#
En français ça veut dire : beaucoup de chaussettes ; soutien à la recherche contre la trisomie 21. Pour cette journée mondiale de la trisomie on met des chaussettes originales ou dépareillées et on prend ses pieds en photo et on les mets sur les réseaux sociaux.
Voici nos premières photos
Jeudi 9 mars, notre GEM s'est rendu à la journée "portes ouvertes" du nouveau GEM 18-25 ans. C'est moi qui avait cette mission de représentée notre Gem
Son local se trouve à Poissy en centre ville.
Je trouve qu'ils sont bien situé car ils ont tout autour d'eux.
J'y ai rencontré un autre Gem venu de Sartrouville.
On nous a proposé des boissons et petits fours ; c'était sympa
Patrice
Objets d’art, de religion ou de rituels, les masques sont omniprésents dans la plupart des cultures du monde. Les plus vieux vestiges japonais datent de la préhistoire. A cette époque, ils étaient fabriqués en argile, excepté le célèbre masque d’Ataka, sculpté en coquillage. Dotés de trous, vous pouvez imaginer que les masques japonais étaient déjà conçus pour être posés sur le visage.
Plus tard, selon une vieille tradition japonaise, ils étaient portés par des danseurs pour des cultes religieux, comme le masque de Gigaku. Les kamen, ou « visages passagers » étaient importés de Corée pour célébrer l’art de la danse, le chant et la musique avant d’être utilisés par le théâtre nô et kyōgen, vers le 14e siècle.
C’est donc le théâtre japonais qui a perpétué cette tradition ancestrale, dans la culture nippone.
Élément majeur de la pièce, le masque prend vie sur scène. En le portant à son visage, l’acteur fusionne avec le personnage. Ainsi, le théâtre nô d’art dramatique compte plus de 250 entités différentes (esprits, démons, hommes, femmes, vieillards). Les masques ont la réputation de varier d’expression selon leur inclinaison. Quant aux masques de kyōgen, ils sont d’aspect comique et d’exagération absurde. Le masque du théâtre Kabuki, troisième genre théâtrale japonais, a été rapidement remplacé par un maquillage complexe et élaboré, répondant à un code très stricte.
Au 16e siècle, le rayonnement du théâtre nô, donna naissance à un artisanat de fabrication de masques dont Sankôbô fut le premier sculpteur. Par la suite, il créa plusieurs écoles afin de transmettre son savoir-faire.
Les masques traditionnels japonais sont sculptés sur une pièce en bois de cyprès, recouverts de céruse, puis colorés et laqués. Les détails sont peints à l’encre de Chine et on peut même trouver des crins de cheval en guise de chevelure ou autre pilosité. Leur particularité : leur face laquée qui crée des jeux d’ombres et de lumières, leur donnant ainsi de multiples facettes. 😮